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Sculptures, bronzes

Bois, terre cuite, plâtre, pierre, ivoire, marbre, métal, bronze : les ventes aux enchères de Sculptures, marbres et bronze conjuguent l’art et la matière.
Ces ventes live font la part belle à la sculpture classique, des statuettes en bronze de la Renaissance italienne aux portraits en marbre blanc de Jean-Antoine Houdon en passant par les bustes en terre cuite d’Augustin Pajou. Des Vierges à l’enfant aux sculptures animalières d’Antoine-Louis Barye, Rembrandt Bugatti et François Pompon, impossible de rester de marbre devant une telle profusion de sculptures en bois, de têtes en plâtre, de bustes en pierre et de fontes anciennes à la cire perdue.
Les sculpteurs modernes et contemporains font aussi les délices des initiés dans ces ventes online Sculptures, marbres et bronzes qui rassemblent Auguste Rodin, Camille Claudel, Aristide Maillol, Alexander Calder, Niki de Saint Phalle et Jean Tinguely, Arman, César, ainsi que la star des ventes aux enchères Alberto Giacometti.
Le saviez-vous ? Cent ans après la mort d’Auguste Rodin, une épreuve en bronze patiné de l’Eternel Printemps signée par ce génie de la sculpture s’est envolée près de deux millions d’euros à Drouot.
Retrouvez sur Drouot.com les plus belles ventes aux enchères en ligne de sculptures à Paris, dans toute la France et à l’étranger (Angleterre, Allemagne, Espagne, Italie, Belgique, Suisse, Etats-Unis, etc.)

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Lots recommandés

REMBRANDT BUGATTI (1884-1916) Girafe buvant, le modèle conçu vers [1907], notre épreuve numérotée 7 Sculpture. Épreuve en bronze à patine brun nuancé. Fonte à la cire perdue réalisée par Albino Palazzolo. Édition ancienne par Adrien-Aurélien Hébrard réputée à vingt-deux exemplaires. Usures éparses à la patine. Signée R. BUGATTI, porte le cachet de fondeur Cire perdue A.A. HEBRARD et le numéro 7 sur la terrasse. Hauteur: 14,5cm – Longueur: 17,8cm – Profondeur: 20cm Important: Un certificat d’authenticité de Mme Véronique Fromanger, spécialiste de l’œuvre de Rembrandt Bugatti et auteure du répertoire monographique de l’artiste, sera remis, à sa demande et à sa charge, à l’acquéreur. Provenance: - Galerie Albert Benamou, Paris. - Collection particulière, Paris. Œuvre acquise auprès de la précédente vers 1989. Exposition et œuvres en rapport: - Rembrandt Bugatti sculpteur – Galerie Adrien-Aurélien Hébrard, Paris, du 16 mai au 15 juin 1907. Le groupe Les girafes, face à face, dont est issue notre variante de Girafe buvant, présenté lors de cette manifestation - Salon des peintres divisionnistes italiens – Galerie Alberto Grubicy, Milan, 1907. Le groupe Les girafes, face à face, dont est issue notre variante de Girafe buvant, présenté lors de cette manifestation. - Salon de la Société Nationale des Beaux-Arts, Paris, 1908 - Le groupe Les girafes, face à face, dont est issue notre variante de Girafe buvant, présenté lors de cette manifestation Bibliographie: Véronique Fromanger - Rembrandt Bugatti sculpteur - Une trajectoire foudroyante - Répertoire monographique – Les Éditions de l’Amateur, Paris, 2016. Un modèle identique reproduit pages 65 et 328 et référencée dans le Répertoire des éditions en bronze sous le numéro 200 (petit modèle).

Estim. 25 000 - 35 000 EUR

VŨ CAO ĐÀM (1908-2000) - Jeune fille annamite, le modèle Paul Reynaud Bronze à patine verte, signé sur la base sur le côté gauche 37 x 15.8 x 19 cm - 14 5/8 x 6 1/4 x 7 1/2 in. Une attestation d'inclusion au catalogue raisonné de l'artiste, actuellement en préparation par Charlotte Aguttes-Reynier pour l'association des Artistes d'Asie à Paris, sera remise à l'acquéreur. PROVENANCE: Collection du ministre Paul Reynaud, France (acquis directement auprès de l'artiste et transmis familialement depuis) BIBLIOGRAPHIE (POUR UN MODÈLE SIMILAIRE) « Inauguration du Salon des artistes indochinois - L’art en Indochine », Le Monde colonial illustré, n° 88, décembre 1930, repr. p. 306. L’Art vivant, n° 151, août 1931, repr. p. 389. « Trois Écoles d’art de l’Indochine, Hanoi, Phnom-Penh et Bien-Hoa ». Imprimerie d’Extrême-Orient, Hanoi, 1931, repr. pl. V. « Exposition coloniale », L’Illustration, hors-série (mai-juin-juillet). 1931, repr. « L’École des beaux-arts d’Hanoi », L’Illustration, n°4608, 27 juin 1931, repr. « L’Indochine », Climats, 1949, repr. Quang Phong, Quang Vier, My chuât chü do Hà Noi Thé ky XX - Les Beaux-Arts de la capitale de Hanoï au XXe siècle, The Fine Arts Publisher - Hanoi. 1999-2000, repr. 2.54, P. 62. Du fleuve Rouge au Mékong, visions du Viêt Nam, catalogue d’exposition, Paris Musées, Editions Findakly, 2012, p. 98-99. Christophe Bertrand, Caroline Heberlin, Jean-François Klein, Indochine, des territoires et des hommes, 1856-1956, Paris, Gallimard, 2013, repr. n° 182. Dominique Jarrassé, Laurent Houssais, Nos artistes aux colonies - Sociétés, expositions et revues dans l’Empire français 1851-1940, Éditions Esthétiques du divers. 2015, repr. p. 125. Dominique Jarrassé et Sarah Ligner, Les Arts coloniaux - Circulation d’artistes et d’artefacts entre la France et ses colonies, Editions Esthétiques du divers, 2021, p. 22. L’art moderne en Indochine, Charlotte Aguttes-Reynier, In Fine éditions d’art, 2023, repr. p. 59, 66, 99, 101. HISTORIQUE (POUR UN MODÈLE SIMILAIRE) 1929, exposition de peinture et sculpture, oeuvres exécutées par les élèves pendant les vacances, EBAI, Hanoi (15 novembre- ?) 1931, exposition coloniale de Paris, Vincennes (6 mai-15 novembre) 1931, exposition d’art colonial, Rome (décembre) 1932, exposition de l’École des beaux-arts d’Hanoi et des écoles d’artisanat de l’Indochine, Agindo, Paris, n°75 (29 février - 31 mars) 1932, Salon des artistes français, Grand Palais, Paris, n° 4111 (30 avril-30 juin), titré « Tête de jeune fille annamite » 1932, Salon des artistes indochinois & exposition Alix Aymé, Agindo, Paris (10-25 octobre) Collections du musée des Colonies, (acquis en 1933) 1941, Salon d’automne, palais des beaux-arts, Paris, pour un autre exemplaire, n° 2156 (4 octobre-9 novembre) 1944-1945, L’Indochine française, galerie de l’agence économique des colonies, Paris, pour un autre exemplaire (29 décembre - 3 février) Collections du musée national des Arts d’Afrique et d’Océanie (fonds historique) 1991, « Expression des horizons lointains, la peinture coloniale, 1900-1940 » musée Bonnat, Bayonne (12 avril-30 septembre) Collection du musée du quai Branly - Jacques Chirac, Paris (versé du précédent en 2006), en dépôt au musée des années Trente depuis 1992, Boulogne-Billancourt, inv. 75.9734, titré « Tête de jeune fille » 2013, « Du fleuve Rouge au Mékong. visions du Viêt Nam », musée Cernuschi, Paris (20 septembre-27 janvier) 2014, « Indochine. Des territoires et des hommes, 1856-1956 », musée de l’Armée, Paris (16 octobre-26 janvier) Les sculptures de Vũ Cao Đàm sont remarquées par la critique à Paris à l’occasion de l’Exposition coloniale en 1931. Il réalise notamment le buste de Bảo Đại, le buste de son père ainsi que plusieurs têtes de jeunes filles dont celle qui est présentée ici. L’artiste parvient à modeler des visages transcrivant la sérénité et la douceur, l’image se dégageant étant celle d’un buste sculpté avec une grande finesse. Dans ses peintures, l’artiste utilise des techniques de composition, de couleur et de texture pour transmettre ces émotions. Il joue avec la lumière et l’ombre, les expressions faciales et les postures pour créer une atmosphère de quiétude. De même, dans la sculpture, il modèle la forme et les contours du visage avec une précision qui révèle la paix intérieure et la douceur de l’âme représentée. Vũ Cao Đàm ne se contente pas de représenter le visage d’une jeune vietnamienne, mais il parvient à lui donner une vie intérieure, une émotion subtile qui touche le spectateur. C’est cette capacité à transcender la matière pour exprimer des sentiments profonds qui rend son travail si remarquable. À travers son art, Vũ Cao Đàm offre au spectateur une expérience visuelle et émotionnelle qui invite à la contemplation et à la réflexio

Estim. 80 000 - 120 000 EUR

PAUL BELMONDO (1898-1982) La Baigneuse (au rocher), 1947-1955, une version en petit format de notre sculpture présentée au Salon des Tuileries en 1947, une version monumentale en pierre installée sur une fontaine à Orléans en 1955 Sculpture de parc. Pierre. Signée BELMONDO à l’arrière de la terrasse. Hauteur: 82cm Terrasse: 32 x 42cm Important: Un courrier de remerciements à Paul Belmondo de Monsieur C. daté du 19 janvier 1955, pour la cession par l’artiste de cette sculpture pour son jardin de Seine-et-Marne, sera remis à l’acquéreur; le nom du signataire biffé. À noter: Le sculpteur créa la figure de la Baigneuse au rocher vers 1947; cette sculpture de petit format fut présentée au Salon des Tuileries cette année-là. En 1955, une grande version en pierre, fut installée au centre d’un bassin à l’angle de la rue Royale et de la rue de Tabour à Orléans. Collection publique et œuvre en rapport: Musée Paul Belmondo, musées de Boulogne-Billancourt – Une épreuve en plâtre, de petit format, de notre modèle de sculpture est conservée dans les collections de cette institution sous le numéro d’inventaire BEL2007.1.175. Exposition et œuvre en rapport: XXIVe Salon des Tuileries – Musée des Beaux-Arts, Paris, 1947. Une épreuve en plâtre, de petit format, de notre modèle de sculpture fut présentée sur une commode de Maurice Jallot lors de cette manifestation. Bibliographieet œuvres en rapport: - Mobilier et Décoration – N°3 de juin 1947. Une épreuve en plâtre, de petit format, de notre modèle de sculpture reproduite page 39, dans un article consacré à l’artiste sous la plume de Paul Sentenac. - Mobilier et Décoration – N°4 d’août 1947. Une épreuve en plâtre, de petit format, de notre modèle de sculpture exposée sur une commode de Maurice Jallot, reproduite page 77 sur une photographie de l’exposition. - Mobilier et Décoration – N°7 de juillet 1948. Une épreuve en plâtre, de petit format, de notre modèle de sculpture reproduite à deux reprises page 19. - Paul Belmondo, la sculpture sereine – Catalogue de l’exposition itinérante organisée entre juin 1997 et novembre 1999 à Albi, Marseille, Puteaux, Trevarez, Carpentras, La Roche-sur-Yon, Roubaix, Metz, Forest-Bruxelles, Troyes, Boulogne-Billancourt, Éditions Somogy, Paris, 1997. Une épreuve en plâtre, de petit format, de notre modèle de sculpture référencée sous le numéro 21 du catalogue et citée page 109; sa version en bronze référencée sous le numéro 72 et reproduite page 134; La Baigneuse de la fontaine d’Orléans citée page 176.

Estim. 6 000 - 8 000 EUR

Tony Szirmai (1871 - 1938), Collection of plaques from the Paris World Exhibition 1900 - métal non-ferreux, plaqué argent, collage de treize plaques pour l'Exposition Universelle de Paris 1900, Exposition Universelle Paris 1900, contient : Trocadero - Rue de Nations - Portugal, Le Palais de la Turquie, Le Pavillon de la Norvege, Le Luxembourg, Pavillon du Danemark, La Serbie, Palais de le Hongrie, Le Palais de la Perse, Palais de la Roumanie, Le Pavillon Royale d'Espagne, Le Palais de la Grece, Le Palais de la Bulgarie, Pavillon de la Suede, les plaques représentent les différents bâtiments de l'exposition avec des figures allégoriques et les armoiries nationales respectives, une grande partie des plaques avec la signature de l'artiste, montées sous verre sur velours rouge foncé, cadre en chêne lourd avec incrustation dorée, 73 x 60.5 cm (HxL) Anciennement dans la collection du Dr Ludwig Baron Döry, Francfort/Main. French Description Tony Szirmai, collection de plaquettes Exposition universelle Paris 1900 (1871-1938), métal non ferreux, argenté, collage de treize plaquettes pour l'Exposition Universelle de Paris 1900, Exposition Universelle Paris 1900, contient : Trocadéro - Rue de Nations - Portugal, Le Palais de la Turquie, Le Pavillon de la Norvege, Le Luxembourg, Pavillon du Danemark, La Serbie, Palais de le Hongrie, Le Palais de la Perse, Palais de la Roumanie, Le Pavillon Royale d'Espagne, Le Palais de la Grece, Le Palais de la Bulgarie, Pavillon de la Suede, les plaquettes montrent les différents bâtiments d'exposition avec des figures allégoriques et les armoiries nationales respectives, une grande partie des plaquettes avec la signature de l'artiste, monté sous verre sur velours rouge foncé, cadre lourd en chêne avec incrustation dorée, 73x60,5cm (hxl) Ancienne collection du Dr Ludwig Baron Döry, Francfort-sur-le-Main.

Aucune estimation

Reich allemand 1933 - 1945 - Art : Kurt Schmid - Ehmen : Tête d'aigle. En bronze. Sur la partie arrière du cou, signature de l'artiste "KURT SCHMID - EHMEN". Sur un socle en calcaire massif probablement postérieur. Sculpture en bronze 33 x 34 cm. Hauteur totale : 62 cm. Kurt Schmid-Ehmen (* 23 octobre 1901 à Torgau ; † 14 juillet 1968 à Starnberg) est un sculpteur allemand. Schmid-Ehmen est considéré comme le créateur de l'aigle du Reich et de l'emblème national-socialiste. Il étudia à l'Académie de Leipzig avec Adolf Lehnert et à l'Académie de Munich, fut maître-élève de Bernhard Bleeker et se fit d'abord remarquer par de nombreux bustes, dont celui du célèbre pianiste Josef Pembaur, professeur de la pianiste de concert Hetty Haelssig (future Schmid-Ehmen). Son adhésion au parti national-socialiste au début des années 1930 et sa connaissance de l'architecte Paul Ludwig Troost lui ont permis d'obtenir ses premières commandes et de faire personnellement connaissance avec Adolf Hitler. Il a ainsi conçu le monument aux morts du 9 novembre 1923 dans la Feldherrnhalle ou les aigles sur les bâtiments du parti à Munich, sur le terrain du Reichsparteitag à Nuremberg ou le relief d'aigle pour le fumoir dans la nouvelle chancellerie du Reich. Schmid-Ehmen a réalisé le plus grand aigle en bronze, d'une hauteur de neuf mètres, pour le pavillon allemand de l'exposition universelle de 1937 à Paris et a reçu pour cela le Grand Prix de la République Française. Depuis 1936, il faisait partie du Conseil présidentiel de la Chambre des arts plastiques du Reich, et le 30 janvier 1937, Adolf Hitler le nomma professeur. Auparavant, il avait déjà été nommé membre du Reichskultursenat par Joseph Goebbels en 1935. De 1937 à 1944, Schmid-Ehmen a participé à toutes les grandes expositions d'art allemandes à Munich. En 1937, il y présenta, entre autres, des portraits-buste du Gauleiter de Munich - Haute-Bavière Adolf Wagner, du trésorier du Reich du parti national-socialiste Franz Xaver Schwarz et de Julius Streicher. Hitler acheta la statue "Figure féminine" exposée en 1938,en 1940 la statue "Schreitender" et en 1942 la statue "Figure féminine"[. En 1944, Schmid-Ehmen exposa le buste de l'écrivain Hans Zöberlein. Lors de l'exposition Deutsche Künstler und die SS en 1944 à Salzbourg, l'œuvre "Mädchen mit Zweig" (jeune fille avec une branche) fut exposée par lui. Depuis 1948, Schmid-Ehmen a repris une activité artistique à son nouveau domicile de Starnberg et a réalisé des portraits, des monuments funéraires et des œuvres figuratives. Parmi ses œuvres tardives, on compte une pleureuse en 1961, une fontaine mère commandée pour une maison de retraite à Schweinfurt, ainsi qu'un phénix monumental de 3,50 m d'envergure et de 2,10 m de hauteur, qu'il a achevé en tant que modèle en plâtre prêt à être coulé deux mois avant sa mort en 1968. Le bronze a été coulé en 1990 sous la surveillance de sa veuve. Sculpture impressionnante de grande qualité artistique de l'un des sculpteurs les plus importants du 3ème Reich. État : 1-2

Estim. 6 500 - 6 500 EUR